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Pourquoi Capucine

Ce blog est dédié à mon fils Jérémy, qui du haut de ses 10 ans s'est courageusement battu durant 7 mois contre la Leucémie et le GvH (Cf. article "Qu'est ce que le GvH ?") mais qui malheureusement n'a pas survécu et s'est éteint le 05 juin 2004 à 3h20 !

Afin que son combat n'est pas été vain et afin de lui rendre l'hommage qu'il mérite, je me dois de continuer ... même si la vie aujourd'hui m'importe peu, je me dois de le faire pour celui qui m'aura tant donné, tant apporté et qui me manque terriblement... MON FILS ADORE !

N'hésitez pas à parler de cette maladie autour de vous, à envoyer cette adresse à vos amis, proches... ainsi peut être arriverons nous à récolter de plus en plus de dons pour aider la recherche !

Prenons le temps de sauver des vies...

... La recherche manque de moyens, aidons la !

Merci

  

Vous êtes à être venu depuis le 25 mai 2005 

 

 

  

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referencement gratuit

A mon fils ...

ASSOCIATION CAPUCINE (Association Loi 1901 à but non lucratif)

"Jérémy Espoir" n'est pas une Association car pour crééer une Association il faut avoir le temps de s'en occuper et ce n'était pas mon cas. Par conséquent, j'ai recherché sur le net les différentes Associations existantes traitant de la Leucémie. L'Association Capucine m'est apparue être celle qui correspondait le mieux au combat que je voulais mener en mémoire de mon fils.

Histoire de Capucine  

L’Association Capucine est née en 1996 dans l’entourage d’une petite fille « Capucine », âgée de 5 ans, atteinte de la même Leucémie que Jérémy dont la seule chance thérapeutique était la greffe de moelle osseuse et qui a subit les mêmes souffrances.

Pourquoi choisir Capucine  

Depuis 2001, l’Association Capucine finance la recherche contre la leucémie par l’intermédiaire de l’Association « Cent pour Sang la Vie » qui est dotée d’une Comité Médical et Scientifique de très haut niveau permettant de valider les projets de recherche contre la leucémie.

Cette collaboration avec Capucine à l’avantage, grâce aux dons perçus, de financer des projets de recherche très précis et dans le cas de l’action Jérémy Espoir le but est de participer au financement de projets sur l’étude de la GvH (Graft Versus Host ou plus simplement Maladie du greffon contre l’hôte).

Projets financés par Capucine en 2003 via Cent pour Sang la Vie  

1. Hôpital Edouar Herriot
.
Thème du Projet : détection des mutations Bcr-Abl à l’imatinib mésylate chez des patients atteints de leucémie myéloïde chronique (montant global : 46 000 €)
* Capucine a financé 15 000 €

2. EFS de Lyon
.
Thème du Projet : mise au point de la PCR quantitative en temps réel pour l’étude du chimérisme post-greffe de CSH (montant global : 28 206 €)
* Capucine a financé 20 000 €

3. CHU de Hautpierre / Laboratoire de Biochimie
.
Thème du Projet : étude de l’amplicon 17q21 dans les leucémies lymphoblastiques (montant global : 22 600 €)
* Capucine a financé 5 000 €

4. CHU Avicenne
.
Thème du Projet : analyse de la signalisation par le récepteur à l’antigène des cellules B dans les leucémies lymphoïdes (montant global : 40 000 €)
* Capucine a financé 20 000 €

L’Association Capucine, sur l’année 2003, aura versé un total de 60 000 €uros pour financer des projets de recherche.

 

La recherche a besoin de nous, de vous ...

 

 

(Juillet 2003 / La maladie de Jérémy était déjà présente mais nous ne le savions pas encore...)

Ce blog vous permettra peut être de prendre conscience que la leucémie est un fléau, qu'elle tue encore aujourd'hui dans des conditions de souffrances intolérables et que nous nous devons d'aider la recherche à sauver nos enfants ...

 

Malheureusement elle n'a pu sauver Jérémy qui nous a quitté le 05 juin 2004 !

 

Articles à lire absolument : "Le combat de Jérémy", "Pour mieux nous comprendre", "La Leucémie", ...

 

A l'image de Jérémy, ce blog vous permettra également de trouver des fonds d'écran Diddl (Jérémy était un collectionneur d'objets Diddl) et Titeuf, gifs animés rigolos (Diddl, Astérix, Web...), de découvrir "Les recettes de Jérémy" (des recettes simples à réaliser pour les enfants : en construction), des paroles de chansons, etc...

 

 

Consultez les "Sujets traités", ainsi vous découvrirez ce qu'aimait Jérémy ...

N'hésitez pas à venir visiter la boutique Jérémy Espoir (en cliquant sur l'image ci-dessus ! Tous les bénéfices réalisés sur la vente des différents objets seront reversés à l'Association Capucine ....)

 

Nombre de visiteurs en ligne sur ce blog :

 

 

21 septembre 2005 3 21 /09 /septembre /2005 00:00

Autre film que Jérémy   aimait beaucoup .... Taxi

 

 

 

 

A bientôt ...

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20 septembre 2005 2 20 /09 /septembre /2005 00:00

Un des films favoris de Jérémy  ... Fast and Furious !

 

 


 

 

A très bientôt ...

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19 septembre 2005 1 19 /09 /septembre /2005 00:00

Histoire de ne pas perdre la main, voici quatre coloriages Diddl ... copain de Jérémy

 

 

 

A très bientôt ...

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19 septembre 2005 1 19 /09 /septembre /2005 00:00

Les abeilles

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

 

Et bien d'autres thèmes à venir ...

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16 septembre 2005 5 16 /09 /septembre /2005 00:00

La gastronomie

 

La Corse n'est pas une région uniforme ; cette diversité se retrouve dans sa gastronomie et dans l'authenticité des produits du terroir qui sont la base de recettes traditionnelles.

 


 La cuisine corse


 

 

 

Jusqu'au XIXème siècle, il était difficile de parler de cuisine corse dans ce pays cloisonné par ses multiples vallées, réduit à l'autarcie et aux famines sporadiques. Les habitudes alimentaires dépendaient davantage de la région, des zones agricoles et de leur climat que d'une pratique culinaire spécifique. La préoccupation principale était celle de pouvoir manger. A partir du XIXème siècle, des produits nouveaux apparaissent, les recettes anciennes sont transcrites et la recherche incessante de nourriture n'est plus la préoccupation majeure. Le régime alimentaire va évoluer. Pourtant, de ces siècles de pénurie, la Corse à longtemps gardé à l'esprit que l'acte de manger était avant tout celui de se nourrir. La gastronomie est longtemps restée ici un concept étranger à la vie quotidienne. Héritière de la cuisine continentale ou italienne, s'inspirant de recettes traditionnelles corses ou rapportées par les insulaires expatriés, la cuisine de l'île s'est peu à peu inventée dans le courant du XXème siècle. Simple mais savoureuse, elle est dominée sur le littoral par les produits de la mer, dans les zones de montagne par les charcuteries. Et partout les pâtes, accommodées de diverses façons.

 


 La charcuterie


 

 

 

La charcuterie corse tient principalement dans la qualité de la matière première, c'est à dire le porc, nourri en liberté dans le maquis de glands et de châtaignes. Il fournit une qualité de viande exceptionnelle et une variété de produits qui va du fromage de tête aux pieds de porc en passant par le jambon prisuttu, les saucisses salcicce, le lonzu, la coppa ou les ficatellu, des saucisses de foie qui sont à l'image de cette charcuterie, simple, rude et montagnarde.

 


 La farine de châtaigne


 

 

 

Elle a constitué pendant des siècles la base de l'alimentation du payson corse. Dans certaines régions, il était d'usage, aux repas de noce, de servir vingt-deux mets différents, tous à base de farine de châtaigne. Malgré cette variation presque à l'infini, les plats principaux que l'on trouvait sur les tables corses jusqu'au début du XXème siècle se résumaient en un pain de farine de châtaigne, les pisticcine ou de la polenta. Aujourd'hui cette farine est surtout utilisée dans les pâtisseries.

 


 Les soupes


 

 

 

Elles constituaient autrefois l'essentiel de la restauration rurale. La plus connue est la minestra, faite de haricots, de chou frisé, de pommes de terre, d'oignons, de lard fumé et de pâtes fraîches. Longtemps mijotée, elle est souvent servie très chaude et bien poivrée. Il y a aussi la soupe aux herbes du maquis, la soupe à l'ail, la soupe aux pois chiches, la soupe à l'oignon, la soupe de châtaignes ou celle de truite, que l'on peut trouver dans la vallée de la Restonica, à l'ouest de Corte.

 


 Les poissons et les fruits de mer


 

 

 

Poissons et fruits de mer garnissent les tables du littoral. On appréciera l'aziminu, sorte de bouillabaisse à prédominance de langouste, les rougets grillés, le loup au fenouil, la brandade de morue au brocciu, les beignets de calmars ou la seiche farcie, sans oublier la boutargue : salé et séchés, ces oeufs de mulets ou de loup sont considérés comme le caviar de la Corse.

 


 Truites et anguilles


 

 

 

La Corse est l'île des torrents dans lesquels prospèrent les truites fario, à la robe mouchetée et à la chair délicate. A Corte, on cuisine l'aziminu di Corti, une bouillabaisse de truites cuites dans une sauce au vin et aux piments. On peut la préférer cuite sur une tehgja, pierre plate chauffée à blanc. Autre poisson de rivière et d'étang, l'anguille est souvent consommée grillée aux herbes du maquis ou à la matelote.

 


 Les fromages


 

 

 

La production laitière est très importante, avec plus de 17 millions de litres de lait de chèvre ou de brebis. Le fromage est donc un produit très répandu en Corse. Le plus célèbre est le brocciu, fromage national que l'on retrouve dans un grand nombre de préparations culinaires et qui a obtenu l'AOC.

 

 

 


(Source : Guides Bleus)

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15 septembre 2005 4 15 /09 /septembre /2005 00:00

Les chats

 

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

 

 

 

Et bien d'autres thèmes encore à venir ...

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14 septembre 2005 3 14 /09 /septembre /2005 00:00

Les chiens

 

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

 

 

 

 

Encore bien d'autres à venir ...

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13 septembre 2005 2 13 /09 /septembre /2005 00:00

Les manifestations religieuses

 

Outre ses multiples églises, la Corse affirme sa dévotion par l'ampleur et le faste qu'elle donne aux fêtes liturgiques. La plupart d'entre elles se déroulent sous l'égide de confréries, autrefois riches et puissantes. Ces cérémonies teintées parfois de rites païens, font toujours l'objet d'une grande ferveur populaire. La plus importante d'entre elles est sans conteste la semaine sainte, qui donne lieu, depuis des siècles, aux processions les plus remarquables à travers toute la Corse. Les cérémonies religieuses sont suivies d'une fête profane, le lundi de Pâques. C'est la "Merendella", un traditionnel pique-nique collectif dans les campagnes ou sur les plages, symbole de la renaissance du Christ, mais aussi de la fin de l'hiver.

 

 Les processions de la "Sittimana Santa"


 

 


En corse, la semaine sainte commence le dimanche des Rameaux avec la bénédiction des E Crucette, des petites croix fabriquées à l'aide de brins d'olivier ou de feuilles de palmiers. Elles seront conservées toute l'année.


> A Bonifacio : le vendredi saint, les membres des six confréries issues des chapelles ou églises de Bonifacio

> Sainte-Croix, Saint-Erasme, Saint-Roch, Saint-Dominique, Sainte-Marie-Majeure, escortés par les habitants de leurs quartiers, marchent en procession à travers la ville, empruntant des chemins différents. Lorsque les confréries viennent à se croiser, elles se saluent en silence et croisent leurs bannières. Chacune porte des reliques de saints sur des châsses en bois de style baroque, illuminées de flambeaux et de lanternes.

> A Calvi, la semaine sainte est marquée par des cérémonies religieuses qui revêtent un caractère original. Dès le jeudi après-midi a lieu la bénédiction des "canistrelli", gâteaux corses en forme de couronne qui seront distribués lors de la procession des pénitents. Le prieur de la confrérie, reprenant les gestes du Christ, lave les pieds des douze apôtres : c'est la cérémonie de la "lavanda". Le vendredi saint se déroule la procession symbolique de la Granitola : les pénitents de deux confréries de Saint-Antoine et de Saint-Erasme, en cagoule et pieds nus, portent à travers les rues de la ville un Christ mort grandeur nature, suivi par la statue de la Vierge. La Granitola se noue et se dénoue quatre fois en une spirale symbolique de l'ascèse. Cette procession de pénitents résume le mystère pascal.

> A Cargèse, ancienne colonie grecque, les cérémonies pascales sont célébrées dans l'église orthodoxe selon un rituel conduit par l'archimandrite. Chants et lamentations se déroulent le soir du vendredi saint dans l'église non éclairée. Le samedi a lieu la cérémonie aux cierges pour le retour de la lumière. A minuit, chants du rite orthodoxe grec.

> A Sartène, le Catenacciu, à l'origine fort ancienne, est la plus connue des processions du vendredi saint, que l'on compare parfois à celle de Séville. Pieds nus, habillé de rouge, un pénitent cagoulé porte une croix de plus de 30 kg. A son pied droit est attachée une lourde chaîne de 14 kg qui a donné son nom à la procession : U Catenacciu, l'Enchaîné. Le Grand Pénitent rouge est suivi du Pénitent blanc qui l'aide, comme l'a fait Simon de Cyrène, le personnage qu'il incarne. A leur suite, les pénitents noirs portent sur un linceul le Christ mort ; suivent le clergé en violet et la foule des fidèles. La procession se déroule dans les ruelles étroites de la ville illuminée et s'achève sur la place où le prédicateur prononce son sermon avant de bénir la foule.

> A Lota, le soir du jeudi saint, se déroule l'office des Ténèbres, célébré et chanté en latin devant des enfants qui agitent des crécelles.

> Dans le Cap Corse : partie d'Erbalunga, la Cerca, c'est-à-dire la recherche, se dirige vers la montagne. Cette procession du vendredi saint se déroule sur plus de 7 km d'église en église à travers les hameaux.

 


 Le 15 août à Ajaccio


 

 

 

Cérémonies de l'Assomption et fêtes commémoratives de la naissance de l'empereur Napoléon 1er.

 


 Début septembre à Casamaccioli


 

 

 

Célébration de la Santa di U Niolu : messe avec chants traditionnels au cours de laquelle on honore une vierge miraculeuse. C'est l'occasion d'une fête pastorale et commerciale.

 

 

 


(Source : Guides Bleus)

 
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9 septembre 2005 5 09 /09 /septembre /2005 00:00

A la demande générale, on continue sur les coloriages, histoire de vous détendre durant le week end ! Cette fois, ce sont les Tortues Ninja, autres personnages que Jérémy  aimait ...

 

A lundi et bon week end à tous !

 
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8 septembre 2005 4 08 /09 /septembre /2005 00:00

Croyances et ferveurs

 

Les profonds lacs d'altitude, les épaisses forêts, l'impénétrable maquis ou ces imposantes roches aux formes pétrifiées composent un paysage favorable à la naissance de mythes et de légendes.

 

 Les rochers du diable


 


La Corse est terre de superstitions. La croyance en Dieu appelle la croyance au diable. On prête au Malin l'apparition de formations rocheuses spectaculaires comme celle de la Montagne percée, le Capo Tafonato, à l'ouest de Calacuccia, née à la suite d'une querelle entre le diable et saint Martin. C'est encore lui et son pouvoir maléfique qui aurait fait surgir les calanche de Piana. Toutes les roches ne sont pas d'origine diabolique, mais beaucoup sont habitées par des légendes, comme la montagne de la Sposata, "l'épousée", à l'est de Vico, qui serait la forme pétrifiée, à la suite d'un violent orage, d'une jeune fille et de son cheval.

 

 Sorciers et sorcellerie


 


Les croyances et histoires populaires sont peuplées de récits de sorciers et de mauvais génies. La nuit, le village de Zicavo est hanté par un guerrier sarrazin du nom d'Agramante, dont les femmes se protégeaient naguère en dormant avec une serpe ou une faucille à leurs côtés. Les petits enfants étaient menacés par des sorcières -streghe- qui leur suçaient le sang comme des vampires. Quant aux voyageurs isolés, des revenants -acciaccatori- leur défonçaient le crâne. Dans les villages, les mazzeri savent "voir la mort" et le "mauvais oeil" a ses remèdes.

 

 Rites et croyances


 


Mêlant le sacré aux rites païens, le Corse se signe et multiplie les gestes destinés à lui assurer protection. Le jour de l'Ascension, on cueille très tôt le matin une petite plante grasse, "erba di l'Ascensione". On la suspend vers le bas dans la maison afin d'être préservée. Elle fleurira à la Saint-Jean. Le premier oeuf pondu ce jour même de l'Ascension se verra lui aussi attribuer des pouvoirs surnaturels. Bénédictions d'objets et d'animaux sont ici fort courantes.

 

 Fare l'occhio


 


Menée par les "signatori" qui en détiennent le pouvoir, cette opération est effectuée sur une personne sous l'emprise du "mauvais oeil". La disparition immédiate de quelques gouttes d'huile tombées dans l'eau d'une assiette signifie l'étreinte du "mauvais oeil". L'eau jetée, on renouvelle l'opération : la goutte d'huile disparaît de nouveau. Lors de la troisième épreuve, la goutte tombe, claire, faisant sur l'eau un oeil parfait. Alors le sort n'a plus d'effet et le charme est rompu.

 

 

 

 

(Source : Guides Bleus)

 
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